mardi 6 mars 2012

Insuffisances de prévisions ou absence d’experts avertis ?


Insuffisances de prévisions ou absence d’experts avertis  ?

Peu de prévisions à long terme, crises des matières premières, prix du brut, délocalisations d’usines, crises financières, immigration, absence de dialogue social, information du public, mixité des populations dans les lieux publics, partage du pouvoir, ont marqués profondément l’opinion publique et modifiés la place du Pays dans le monde.

Les responsabilités de la gestion des affaires et des administrations occidentales ont été attribuées certes à cause de compétences mais aussi à cause d’idées politiques ou idéologiques. Ces postes en nécessitaient certainement d’autres aussi importantes pour répondre aux exigences et attentes des populations impatientes.

L’élection du Président est souhaitée à cause de sa valeur, de sa détermination et de l’appareil politique qui le soutient. Le peuple souhaite que la consultation anime et incite les élites du pays à faire la démonstration de leurs talents.

De nombreuses concessions inappropriées ont été faites à ceux qui sporadiquement contestent.
La mise en place de programmes innovants tarde, les commissaires nationaux et européens feignent d’ignorer les conséquences qu’engendrent les exigences internationales.
Il n’est pas raisonnable de sous estimer les ambitions et le rôle des opposants dans la conduite des affaires.

Les habitudes et comportements des populations, non inclus dans les programmes occidentaux, ne doivent pas servir de motifs ni d’excuses pour éluder les problèmes créés par la présence de nouvelles populations indispensables au bon fonctionnement de l’économie nationale, farouchement hostiles au nivellement des cultures.
Si peu de directives suffiraient pour que chacune d’elles se sente vraiment fière d’être citoyenne sans arrière pensée ?

La sagesse des dirigeants et la qualité de sélection des experts attachés aux divers centres de décisions suffiraient largement à satisfaire l’ensemble des populations impatientes et inquiètes.     
Roger Isaac Kalifa 

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