vendredi 17 février 2012

NOUVEL ORDRE MONDIAL, SANS PILOTE


nouvel ordre mondial,  SANS pilote

Le monde moderne est défaillant, tournerait il sans programme, sans pilote ni boussole ?

les médias, la finance, l’éducation, la religion, la politique, le commerce, la mort seraient ils  soumis aux influences et l’autorité de lobbyings structurés ?

Tous les médias et les multiples internautes inquiets interpellent et dénigrent régulièrement la société et les dirigeants politiques au risque de traumatiser et d’ébranler la société.

Le monde est satellisé contre son gré autour d’extrêmes, de fer et de sang à profusion.

Les désordres se multiplient aux quatre coins du monde, aucun pompier ne se sent concerné, les nations malgré leur rang et leur notoriété ont tant de problèmes à gérer qu’ils n’interviennent que très diplomatiquement pour contester du bout des lèvres ou tenter de faire des recommandations non constructives.
Chacune d’elles attend que le voisin prenne en charge la responsabilité de l’initiative !

Les deux axes dont les dirigeants et les personnalité exerçaient jadis leurs capacités de dissuasion ne remplissent plus totalement leur rôle d’arbitre.

Il est indispensable d'admettre que face aux problèmes complexes et difficiles à gérer, les Superpuissances tellement déstabilisées ne sont pas totalement crédibles pour se faire entendre, les problèmes sont complexes et tant l’enclos est vaste !

Il est temps que les responsabilités mondiales soient de nouveau définies planifiées et partagées par de grands partenaires déterminés et opérants.

Ce partage permettrait de refreiner et d’endiguer les ardeurs des petits qui grandissent dans le désordre. Il est temps de remettre sur les rails les pays exagérément ambitieux qui par leurs exigences infondées retardent le développement de leur pays, empoisonnent les relations internationales et accentuent les inégalités et les injustices de toutes natures.
Quel personnalité, quel dirigeant aurait l’audace de postuler au poste de gestionnaire, laissé trop longtemps vacant dans l’enclos mondial désorganisé.  Quel état aurait l’audace de partager la dernière chaise vide abandonnée à cause du vent de l’Histoire ?

Par principe l’ONU qui grâce à sa structure démesurée, aurait théoriquement pu remplir la fonction. Cependant chacun de nous se demande comment un si gros "machin" pourrait enfin se mettre en mouvement, pour éviter que ses exécutants inactifs fassent « les pieds de grue » aux frontières des pays en crise, sans pouvoir intervenir ?

Les raisons de remplir la fonction et les outils ne manquent pas pour remettre sur les rails et en route l’ordre mondial, dont le dénominateur n’est autre que le nerf de la guerre et des affaires « LES CAPITAUX INERTES NON IDENTIFIES EN ATTENTE DE PLACEMENTS SPECULATIFS »

A cause de ce constat
·  Les greniers sont presque vides, des millions de personnes meurent de faim ? Les pays ordonnent de mettre en jachères les terres fertiles ?  Les réserves de blé et de maïs sont utilisées pour fabriquer du carburant ?
· Les populations s’ennuient dans des infrastructures qui s’efforcent de commercialiser des produits non compétitifs parfois obsolètes.
·   Les outils de production qui pénalisent les industries, n’ont pas été renouvelés à temps, ils produisent pour le marché local, les chinois pour le marché mondial !
·      L’immobilier n’offre plus de toit aux populations actives, ils ne sont accessibles qu’à l’élite. Dans un quart de siècle, où seront logés le peuple et les immigrés qui remplaceront dans les usines européennes ceux partis à la retraite.
·     Des capitaux inertes attendent patiemment les opportunités de financement dans de multiples sites internationaux connus, au désespoir des entreprises exsangues incapables de faire face à la concurrence des pays émergeants.
.   Ainsi que bien d’autres raisons identifiées localement dans chaque région d’Europe

Il faut si peu de décisions pour mettre à jour le NOUVEL ORDRE MONDIAL. .Les experts du monde ont identifiés les problèmes, Ils peuvent à tous moments apporter leurs contributions.


Airikal --  Roger Isaac Kalifa Paris

mardi 14 février 2012

RESTE-IL ENCORE DES CITOYENS LUCIDES,


RESTE-IL ENCORE DES CITOYENS LUCIDES,

Il n’est pas facile aux responsables internationaux de mesurer et admettre les décisions négatives, et les motifs qui mettent en marche la machine infernale qui change le cours de l’histoire. Machine qui bat en brèche toutes les initiatives collectives, notamment politiques, sociétales et syndicales.

Peut on imaginer à quel point le manque de concertation puisse créer de si imprévisibles confusions qui détruisent des années d’efforts et de patiences contenues pour préserver les richesses nationales, la vie spirituelle de la société, l’organisation des activités publiques,  et la planification de toutes les activités de la société moderne future mis en place par les responsables de chacune des nations ?

Les loups de toutes origines ont souvent la vie belle en s’alliant aux moutons pas toujours blancs pour abattre leur berger.

-La paix dans le monde bafouée pour que les usines qui produisent les produits les plus inattendus continuent leurs activités sans complexe !
-La gauche et l’extrême gauche s’allient sans conviction à la droite pour éliminer l’extrême droite.
-Une partie de la droite et une partie de la gauche conjuguent leurs efforts pour retarder et évitent de laisser la place à ceux qui prendront forcement la relève dans le concert des nations.
-Les responsables de la spiritualité se démènent plus que jamais pour conserver ou accroître le nombre de leurs paroissiens, etc.…

Depuis un siècle chacune des personnalités du monde moderne mis en place pour toutes sortes de raisons s’animent et s’évertuent à consolider leurs positions pour verrouiller toutes les portes qui permettent d’accéder à :
La Paix dans le monde.
La Réconciliation des hommes,
La mise en place de moyens accessibles à une nouvelle lignée de gestionnaires pour gérer plus efficacement la société moderne,
La création de programmes internationaux de répartitions équitables des richesses de la planète.

Une grande table ronde d'hommes de valeur et beaucoup de réalisme suffiraient amplement.

AIRIKAL – Roger Isaac Kalifa Paris -- Rediffusion 

samedi 11 février 2012

LA FINANCE ET L’ARGENT DU PEUPLE


LA Finance et L’argent du peuple

Pour le redressement économique du pays, pour la stabilité des monnaies, le peuple doit consommer et modifier ses habitudes et son environnement !
Pourquoi donc les populations ne consomment pas plus ? Malgré le forcing la majorité d’entre elles s’abstient d’utiliser les liquidités disponibles.

La prudence est de mise, les responsables et les dirigeants des pays qui à en croire les sondages, ne sont pas crédibles, ne parviennent pas à convaincre les foules de consommer plus.

Chaque famille économise et épargne à sa façon pour éviter la casse en cas d'imprévu. Le bas de laine est plus que jamais privilégié.
La thésaurisation est encore courante dans les familles modestes principalement en province, cette épargne permet de se prémunir contre le chômage inopiné, ou limiter les restrictions sociales en périodes incertaines.

L’évolution sociale modifie les mentalités, l’investissement "pierre" s’accentue et remplace les placements financiers. Les professionnels de la finance parviennent difficilement à convaincre de nouveaux investisseurs.

Bien que les départs en retraite anticipés aient été encouragés pour encourager les "vieux" à dépenser davantage, ils peinent à changer le rythme des achats,
Le constat est évident, les épargnants sont prudents à cause des propositions de placements peu convaincantes et de garanties souvent contradictoires de l’Etat, des Banques et des Assurances.

Les ménages disposent toujours de petits surplus, pour alimenter l’incontournable livret A et faire face aux dépenses imprévues.
Les populations se laissent peu convaincre par les campagnes de presse alléchantes à crédit : Investissements financiers, achats d’équipements ou séjours au bout du monde ! On constate malgré tout quelques dérapages.

Dans les années quatre vingt, une des banques françaises impliquées dans la crise de 2008, avait adopté un slogan dans un programme de communication nationale : " Votre Argent nous intéresse". 
Maintenant faute de convaincre les clients, les banques se regroupent et réussissent à gérer les comptes des clients réticents.

C'est cette pratique que l'on n’appelait pas encore la mondialisation !

Airikal Paris 


mercredi 8 février 2012

FORMATION : ACTIVITE ESSENTIELLE DES PAYS DEVELOPPES !


FORMATION : ACTIVITE ESSENTIELLE DES PAYS DEVELOPPES !

Les crises sont des faits marquants et les suites logiques d’erreurs affectant les milieux financiers, industriels, commerciaux et agricoles, permises à cause d’insuffisance de communications et d’informations actualisées à des moments précis de l’activité d’un continent.

Elles n’ont pas permis aux pays développés de surmonter les effets.
Outre les drames humains quelles engendrent, de grands projets n’ont pas été mis en œuvre.
Les capitaux non affectés auraient permis de développer et multiplier de nouveaux projets.

À cause des délocalisations occidentales et de l’activité soutenue des pays en voie de développement les pays industrialisés ont le souci de  surmonter le problème de l’inactivité des personnels non spécialisés et favoriser les activités des futures entreprises.

Les productions des unités délocalisées sont sans doute celles qui après négociations, favorisent largement les compensations commerciales bilatérales à fortes valeurs ajoutées.
Les multiplications et extensions de délocalisations pas totalement inutiles ni ignorées permettent évidemment aux pays occidentaux d’exporter machines, installations, aéronefs et autres produits ...
Ce cycle d’échanges immuable entraine évidemment la fermeture de nombreuses unités locales et la suppression de milliers d’emplois non spécialisés.
Personnels à reconvertir et à former dés que possible pour satisfaire les demandes de nouvelles unités de productions et limiter autant que possible le nombre d’autorisations d’entrées de techniciens étrangers.

La création constante de produits nouveaux favorise la demande et contraint les industriels à financer plus de projets inédits dans des domaines tels que Nucléaire, Energie, Isolation, Stockage d’énergie, nouveaux matériaux, défense, transports, transmissions, communication, secteurs d’activités pas encore au programme des pays sous industrialisés.

Dans ce contexte et environnement commercial hostile les pays les plus favorisés sont ceux dont le taux de personnels scientifiques et techniques et le volume de créations de produits par million d’habitants sera le plus élevé.
On peut citer entre autres que des pays comme USA, France, Israël, Japon, Inde, Corée, Chine auront une tache immense à remplir dans leurs zones d’influences.

La recherche et la formation seront inévitablement les premières activités des pays qui ont le souci de se développer et préserver les emplois des entreprises.

Airikal -- Roger Isaac Kalifa Paris